RoulixXS

in God women trust because god is a sextoy...

Samedi 3 juillet 2010 à 11:55

Aller on est tous bisexuels et on choisi son penchant au lieu de se dire hétéro "par défaut" le défaut c'est justement d'être hétéro. Démocratie oblige, on doit être libre. Libre de choisir son lave-vaisselle comme sa sexualité. [ Euh elle débloque complètement là.... Elle a pas prix ses gouttes ce matin c'est tout. ]
La raison de cette revendication c'est juste la joie des vacances qui me prend comme ça. En vacances depuis hier à 9h30 heure de la fin de mon oral de bac de français. Ca c'est fait.
Non mais vraiment je plaisante pas ! Je trouve ça dommage qu'il faille une gay pride pour que les homos osent s'affirmer et se montrer, ou simplement rappeller que eux aussi ils sont amoureux, ils ont un coeur et un cerveau qui fonctionnent simultanément, comme tous les autres connards de cette somptueuse planète. Et zeub' !
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Je suis surréaliste,
Je voudrais vivre au pays des guimauves grillées,
J'écoute Placebo en boucle parce que j'aime ça,
Je l'aime mon blond, et veux le voir.
Je suis un cas social,
Mais j'intègre quand même la société,
Malgré mon associabilité et ma marginalité impressionnante,
Qui certes parfois se montre trop hostile face aux gens normaux.
Oups ! Je m'en excuse bien d'ailleurs.
Je suis dingue, folle, tarée et tout le monde le sais,
Mais ça n'empêche pas tout le monde de me cotoyer,
et d'aimer ça....

Mercredi 28 avril 2010 à 14:31

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Cinq mois finalement c'est que dalle, hein ? C'est le temps qu'il m'aura fallu pour trouver quelques minutes pour réécrire un article sur mon blog, qui fait part, comme très souvent, des pensées traversant mon esprit. Sept mois ça fait plus ? C'est important ? On en refait encore sept ? Sept c'est le chiffre ultime, les sept nains, les sept pêchés capitaux pour le catho, les sept couleurs de l'arc-en-ciel, ou du spectre de lumière pour les scientifiques, les sept minutes de répis volées au réveil quand on a la flemme de se lever de suite. Non en fait, sept c'est rien. Parce que finalement sur échelle de 0 à 100, c'est moins d'un dixième. Mais tout est relatif, sept sur dix, c'est déjà plus que la moyenne. Reste à savoir quelle est la moyenne de la durée d'une relation qu'on peut considérer comme sérieuse. Si j'avais été la seule. Ah, tu le serais bien aussi, va ! Le seul, le vrai l'unique, celui qu'on garde précieusement et qu'on s'approprie avec le temps. Même avec le temps, j'ai toujours des sensations horribles qui parfois, dans des moments de doute, me reviennent et me prennent aux tripes.
Je suis comme... 
Partagée. Je suis le cul entre deux chaises. D’un côté trône la raison et de l’autre vit ma folie qui ne cesse de vouloir grandir tout en étant étouffée par le manque de place que lui inflige la raison. Cet esprit perturbé c’est le résultat d’une incohérence mentale liée à la volonté de devenir quelqu’un d’autre tout en restant soi-même. Une sorte de dilemme qu’impose le corps à l’esprit après quelques années de vie harmonieuse, enfin plus ou moins je crois. Se poser des questions sur ce que l’on fait, et deux fois plus sur ce que l’on ne fait pas. Avoir envie d’une chose folle et refuser de s’y résoudre pour la raison qui nous semble être plus importante, intelligente et précieuse que la folie qui nous prend de temps à autres sans prévenir, par à-coups. Redouter la folie sous prétexte que la raison qu’on a longuement apprise est une valeur plus sûre, et certes bien moins originale, et se fondre le plus minutieusement possible dans ce moule frais qui nous attend déjà.
 
et parfois...
Perdue. Je ne me comprends plus moi-même. Mon corps se glace et frissonne, la musique douce et mélodieuse envoute l’esprit qui n’arrive plus à penser. Le raisonnement paraît soudain impossible et mon langage se résume à « oui », « non », « ok ». J’avais déjà envie d’envoyer chier tout le monde ou presque et voilà que le « presque » s’efface de ce besoin. Je voudrais n’être rien, n’avoir jamais été et ne plus jamais être tellement je me sens inutile et incapable de satisfaire. Comme si en deux phrases on pouvait détruire un esprit et ses pensées, ses choses qu’on a commencé à croire et dont on aime se satisfaire et se féliciter. Je me sens comme un vide plein en personne, une sorte d’overdose de vie m’est montée à la tête et ne veut pas en redescendre.  Le paradoxe s’éveille en moi comme cette envie que j’ai de tout foutre en l’air, d’aller valser dans les champs de blé, de redevenir poussière et oublier l’amour. J’ai réussi à devenir en une heure le spectre de moi-même. Comme si cette capacité avait longuement été travaillée, j’ai enfin abouti au résultat qui semble convenir à mon corps et à mon esprit qui veut à présent dormir jusqu’à ce que le calme de l’âme revienne et que l’eau sèche pleinement. Tu sais que je peux n’en vouloir qu’à moi-même.

Et puis on a un déclic un jour, on arrête de trop penser, on essaye de vivre "normalement", de profiter, de se concentrer sur les réalités concrètes que nous impose notre train de vie, aussi nul qu'il puisse l'être, il finit par vous intérresser, cet imbécile, avec ces faux principes qui s'écroulent petit à petit, les gens qui fondent en rivières de mensonges sans s'en rendre compte, qui deviennent le vrai et atroce reflet de la société hypocrite qui s'est créée dans ces principes inhumains qui veulent eux même se convaincre qu'ils sont idéaux. C'est trop moche. Je veux plus voir ça, mais j'ai quand même chopé la motivation de ramener mon cul chaque jour dans un bahut qui illustre si bien cet état de catastrophe, comme tous les bahuts d'aujourd'hui d'ailleurs, en gardant toujours l'idée que c'est cette horreur qui rend ce que j'aime beaucoup plus beau que tout, comme si y'avait plus que ça pour moi, que j'oubliais tout le reste pour n'être bien qu'avec lui. Sachant tout de même que même sans tout ça, il resterait mon idéal à moi, parce que c'est lui. Qu'il est beau et blond, que je l'aime. Et tout ça pour de vrai.
Bizarement lorsqu'on arrête de penser le jour, la nuit comme toujours nous rattrappe, j'ai les rêves qui m'envahissent, les images de mon subconcient qui prennent trop de place, qui m'étouffent au réveil. Je me souviens de presque tout, je revis cette situation fictive qui m'est venue pendant mon sommeil, je ne comprend pas. Parfois c'est drole, parfois c'est flippant, on me fait mal, ou alors je vois le mal, mais parfois c'est attirant cette folie qui vient. Je fais ma vie nocturne, la vie que je voudrais avoir le jour enfait, elle me vient quand je dors, je me ressource dans ses images qui traduisent mes envies et parfois même des choses que moi même n'aurais pas imaginées. Pourquoi ?
J'ai besoin de me reposer des questions sur tout, en attendant d'être avec ceux qui me manquent, pour m'occupper à chercher des réponses que je ne trouverais pas, chercher des questions que je ne me suis pas encore posées, chercher des questions qui seront elles-même les réponses à ces anciennes questions déjà posées dans le passé. Et faire ça jusqu'a la surchauffe intensive de mon cerveau.

Tout ça sans jamais oublier que j'ai aussi une vie, une partie de ma vie, qui me plait, parce qu'il en fait partie. Sans jamais oublier qu'on est toujours quelque part, jamais ailleurs. Sans jamais oublier que


MOINS T'EN PORTES, MIEUX JE ME PORTE.

Jeudi 5 novembre 2009 à 19:50

Voilà qui va enchanter les coeurs et vous faire jouir de bonheur... ou pas. Nouvel article tant attendu, après si longtemps j'admet avoir été loin de vous virtuellement parlant étant donné le désert qui s'est installé sur mon pauvre blog. Enfin voilà vous allez être en intense moment de paralysie et surement de flemme devant l'article que voilà. Appréciez, lisez, prenez, consommez, buvez, videz, cumulez, gardez, pensez et aimez. Ceci est mon esprit, ceci est un peu pour vous aussi.
 
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Parceque je suis posée dans ma sombre chambre avec un fond sonore des plus agréables, du genre Special Needs de Placebo. Et que le moment de vous dire tout ça est (enfin) venu. Des fois j'ai l'impression que le son n'est jamais assez fort pour que la musique m'entre dans la tête et s'y retrouve enfermée, mais enfait si on écoute on entend et on garde cette mélodie en tête. Et on savoure chaque seconde. Comme quand on passe une journée avec des gens qu'on aime, qu'on a pas vues depuis des mois mais qu'on a l'impression d'avoir quittées la veille. J'adore, j'adore j'adore encore je suis définitivement accro aux blagues et conneries en tout genre avec ces filles aussi choux les une que les autres. Faire les courses c'est bien, acheter des navets c'est bandant, surtout quand on se retrouve comme une conne devant le truc pour peser les fruits et légumes et qu'on trouve pas la touche "navets". Grand moment de solitude alors que deux trisomiques sorties tout droit du rayon déos et parfums rient pour une raison qui vous est inconnue. C'est trop bon de manger des cookies et des pates, de faire les débiles sur des musiques quiffantes dont tout le monde connait les paroles mais que personne n'osera jamais chanter devant tout le monde. Aaah l'amitié n'a que du bon avec vous, je garde des souvenirs dans un coin de ma tête et m'étonne parfois de les voir refaire surface dans des moments d'égarement, de nostalgie... peut-être de mélancolie, terme à vérifier ;) Lou Reed m'entend. Puisse la force gangesque nous mener à l'entente parfaite et indestructible de ce que nous aimons être ensembles. Si bon de tout oublier quand on est en plein délire.¨Plus rien n'existe à part notre joie de vivre et on peut alors ce dire...
Où vont tous ces gens qui courent ? Moi je regarde le monde défiler devant mes yeux et je me pose des questions de merde. Du genre "L'Homme est-il sensé, grâce aux nouvelles technologies, au temps qui avance et a ce putain de vingt-et-unième siècle, créer tout à l'image de la beauté ou les bâtiments en béton qu'on appelle HLM sont le résultat d'un élan d'intelligence visant a loger le peuple toujours plus nombreux ?". Oui cette fille est folle, mais ça ne va pas changer tout de suite, peut-être même jamais. c'est trop bon d'être con aux yeux des autres, parce que finalement, on est TOUS cons, mais chacun à notre façon. C'est ma version, et sans vouloir vanter une partie de mon esprit semblant parfois réduit a une folie soudaine, je pense que c'est une bonne version. On a pas le droit de dire que certains sont cons, moches ou inutiles sous prétexte qu'ils sont différents de nous, alors je préfère me dire qu'on est tous cons, car je trouve l'Humanité très conne. Alors on peut le rester si on est tous dans le même sac, hein ? En ce qui concerne ces immeubles que je trouve particulièrement ideux, je tiens à me justifier (ouais à la base je m'appelle Justine quoi xD justinus, justice... t'vois le genre) : les temps changent et on est sensés évoluer, sauf que pour moi un batiment carré sans forme et sans détail c'est tout sauf une évolution à côté des vieux bâtiments avec des décos genre les trucs gothiques ou baroques ou ce genre de bâtiments avec des détails travaillés dans la pierre. Et ça c'est beau. Un immeuble moderne dans une grande rue, c'est moche pour moi. Tout ça pour dire que je pense ça et deux secondes après je me dis, "mais t'es conne, ils s'en foutent les gens c'est pas ce qui les préocuppent au vingt-et-unième siècle, ils veulent du fric pas des beaux bâtiments dans leurs rues. Et puis l'Homme n'est pas forcément là pour faire que du beau ce qui importe c'est l'utilité de ces trucs que je juge ideux. Je suis débile, on peut se foutre de tout et vivre comme des fous avec l'envie d'en faire toujours plus..." puis finalement non parce qu'on a pas été élevés comme ça. Avec l'insouciance des répercutions. A partir de l'âge où on comprend qu'on sera pas toujours un enfant, on perd l'insouciance... aaah qu'on seraient bien tous en étant fous. En attendant, on boit et on fume, jeunesse de débauche et d'excès comme dirais mon prof de maths...  et tout ça c'est une façon d'être un peu insouciants parce qu'on ce console de nos petites bêtises -si petites oui- en se disant qu'on est jeunes. On peut booiiire, on peut fuuumeerrrr tant pis on va mourir un jour de toute façon et Modération nous surveille du coin de l'oeil on profite et on peut aimer tout ça ou juste toi.
Parce qu'on a jamais besoin de personne quand on a déjà quelqu'un.
On regarde le monde qui nous entoure et on se moque. De tout et même de rien, surtout de rien. On s'en fou car malgré tout le reste c'est nous au final qu'il reste et c'est la seule chose qui nous importe. Et pourtant peu nous porte. Juste ça, juste toi. Parce que c'est quand on est bien avec une personne que les autres n'existent plus. Que les yeux fermés on voit encore mais d'une façon différente de celle qu'on connait les yeux ouverts. Quand on ferme les yeux tout disparait et ne reste que le subtile, le beau et l'essentiel. On voit en noir et blanc, mais dans l'ombre de nos secrets y'a plus de gris et noir que de blanc. L'infime lumière qui éclaire tes yeux fait briller les miens et les rend encore plus verts. Je n'ai plus rien à dire, je ne trouve plus les mots, les pensées deviennent des images. J'aime. Et comme parfois le vent en automne soulève les feuilles mortes, moi pourtant vivante suis à mon tour soulevée par la vague de l'océan qu'offrent tes yeux.
Si jamais l’Homme avait un peu de désintérêt pour savoir apprécier les choses qui sont les plus simples, il trouverait alors que ce sont aussi les plus belles car parfois elles entraînent la complexité de ce qui ne se trouve pas dans ce qui fait la préoccupation de son espèce.

Samedi 19 septembre 2009 à 22:41

http://roulixxs.cowblog.fr/images/brian10.jpgEnterrez-moi. J'en ai marre, j'ai plus la force de finir les journées chez moi les soirs de semaine après les cours. J'ai plus envie de me poser a faire semblant de bosser juste  pour avoir la conscience tranquille et me dire que j'ai pas rien glandé. Je veux la science infuse, pitié je veux passer ces deux années très vite avoir (ou pas) le bac et être au chômage comme (presque) tout le monde. J'ai plus envie de manger le soir et de me doucher et être contente de me coucher. Je voudrais que les nuits soient plus longues parce qu'au moins quand je dors personne m'emmerde et j'emmerde personne, je rêve et sursaute quand on me rend visite -Sleeping with ghosts- ... et j'ai toujours la haine quand le réveille sonne beaucoup trop tôt à mon gout et je déteste déjà la journée qui commence quand je met un pied par terre. Je voudrais que le téléphone sonne tout seul, sans que j'ai moi même avant fait sonner celui des autres. Mais bon, faut pas rêver, ni en demander trop. Je me contente de Bigmouth strikes again ou encore Every breathe you take et autres éternels classqiues. Je voudrais les écouter à fond tous les samedis soir chez Alex parceque c'est trop bon. Si ma vie n'avait pas autant d'inconvénients, elle n'aurait presque que des avantages ça va de soi, mais surtout les avantages ne seraient pas aussi plaisants.
Je me présente : Justine soit la fille la plus négative et pessimiste du monde. (ou au moins de France c'est djà pas mal.)
Pour que je sois contente, happy, glücklich... appellez moi, parlez moi, invitez moi et dites moi des conneries pour me faire rire à en avoir des crampes aux joues et pour contribuer au seul exercice physique que je suis capable de réaliser : me faire les abdos en riant. Seulement faites ça si vous pensez être à la hauteur de mes espérances, amis je vous rassure, elles ne sont pas très hautes. Pas plus que moi en tout cas, je fais 1m60 si ça peut vous donner un ordre d'idée. Alors voilà je suis super conne parceque je pense a plein de trucs qui peuvent paraitre intelligents quand on pense comme moi, mais je ne fais presque rien de ce que je voudrais faire peut-être parceque je n'ai aucune motivation, aucune ambition. Parceque je suis dans l'incapacité totale de devenir ou d'être ce qui serait à mes yeux la perfection ou presque. Mais ça, ça dépend si on considère que la perfection englobe un ensemble comprenant qualités, défauts, points faibles ou forts... ou si la perfection n'est faite que de bons points, de qualités et de choses admirables. Bon perso, la première solution me parait la meilleure, mais c'est "perso" donc je n'impose ma façon de penser à personne, comme a mon habitude je la donne juste, qui veut prendra, qui ne voudra pas ne prendra pas. Sur-ce je disais donc que je ne peut pas devenir la perfection que je pourrais rechercher dans ce monde parceque je pense que c'est quelque chose qu'on ne trouve pas en soi. Et si on se prétends partfait, j'espère au moins que celui qui se trouve parfait, l'est vraiment. La modestie, c'est beau. Comme c'est amusant les gens qui n'en ont pas. pffiou... Ne cherchons pas la perfection, c'est trop, rêvons la au mieux c'est bien plus plaisant d'imaginer que de voir parfois. Pas tout le temps j'avoue, je ne dirais surement pas le contraire. Je veux voir moi aussi, moi d'abord. Je veux voir et savoir pour être enfin dans une réalité plus plaisante encore que tous les rêves qu'on pourrait penser pouvoir inconsciement faire. Peace & Maybe Love sometimes... if we really need it.
I hope to see you soon.
J'admire autant la différence que parfois je la méprise. Je veux que chaque jour soit unique, comme chaque personne, pourtant vous ne me direz pas le contraire si je vous assure que dans notre monde avec notre société de consomation il est dur d'être différent quand tout le monde veut entrer dans le moule d'un type de personne qu'on pense être le mielleur pour nous. Oui, on veut tous être nous a notre façon, mais la plupart des gens ont la même façon d'être eux. Alors la différence ne se ressent plus. Ni physiquement, ni malheureusement mentalement. Je vous en supplie, soyez originaux, ça casse la routine, le train-train et la vision qu'on a tous d'une journée pluvieuse. Arrêtez de sortir des parapluies noirs et une sale gueule dès qu'il y a trois gouttes qui tombent du ciel (bah oui Dieu aussi il pisse des fois). Bon ok je dis ça et je suis peut-être la première a faire la gueule quand je vois que je vais être obligée de sortir un ti parapluie pour sortir de chez moi sans me prendre la flotte sur la face de déprimée que j'ai déjà. Mais là où vous n'avez rien a me dire c'est sur le parapluie. Oui le mien est orange a pois roses. Eh toc ! Eh oui et c'est pas pour autant que j'ai pas la grise mine quand il pleut mais mon parapluie lui au moins ne l'as pas. Pourtant les apparences sont trompeuses (et oui c'est moi qui dit mais j'ai de quoi) car je préfèrerais péter la forme même quand il pleut mais étant donné que j'ai pas la capacité de la péter même quand il fait beau... Mais ça c'est parceque j'ai besoin d'une bonne dizaine d'heures de sommeil pour être à fond, et d'amis avec qui déconner bien evidemment. Sur-ce aujourd'hui dimanche il pleut et j'emmerde les gens qui ont du beau temps ! Et j'espère que demain il va pleuvoir pour que je sois encore plus heureuse de ne pas faire sport. Bah oui en plus d'être complètement tarrée et de tenir des propos complètements inutiles et imcompréhensibles, j'ai besoin de dormir et bah je suis une chochotte qui s'arrache la peau du petit doigt droit ce qui me permet de prétendre ne pas pouvoir faire du rugby durant deux semaines. Mais rassurez vous ; tout ça, j'en suis consciente. Et c'est BIEN FAIT.

Dimanche 23 août 2009 à 13:48

Ce matin j'écoute Soha. C'est frais, ça sens le printemps et mes oreilles aiment beaucoup cette mélodie. "Heureuse" dit-elle. Etre heureux, c'est quoi ? Y'a plein de questions de ce genre que je me pose à longueur du temps. A chaque instant de vide, mes pensées sont toujours pleines. Autant de questions que tout le monde a du se poser, se pose ou se posera une fois dans sa vie. Mais qui a la réponse ?  Chacun la sienne ? C'est toujours la même chose, je tourne en rond mais je n'y peux rien. C'est parceque la Terre elle même tourne en rond. Je suis sur la Terre, logique que je tourne aussi, non ? -Vous me suivez ?- Quelqu'un que je ne connais pas (et qui veut surement rester anonyme) a dit "Le bonheur c'est savoir faire des bouquets avec les fleurs qui sont à notre portée." et je trouve l'idée très bonne et très juste. Malheureusement, l'Humanité n'a apparement pas entrevue cette idée, cette façon de penser. Tout le monde est pareil, et moi la première, on se plaint on en veux toujours trop alors qu'on en a déjà beaucoup, déjà trop. Ok on est français donc c'est pire. Mais l'Homme en général déjà est plaintif mais le français dans son genre chieur et toujours à se plaindre est pas mal non plus mais quand on voit le gouvernement vous me direz, y'a de quoi ! Ceci dit je ne suis pas là pour parler politique, étant donné que je n'aime pas ça. Je ne m'y intéresse pas et c'est bien mieux comme ça. J'ai déjà assez de choses à contredir, si en plus il faut que j'y ajoute la politique. Je me trouve parfois un peu dure avec ce que je vois qui ne me plait pas, mais tant de trucs ne me plaisent pas que j'en devient misanthrope. La connerie humaine en est forcement la première cause. C'est bien ma peine car je trouve ça agréable les gens sympas et tout mais soit c'est moi soit les autres, mais je trouve que trop c'est trop. J'aime pas les gens et en particulier les gens gentils tellement gentils qu'on en dirait des hypocrites. Et je déteste. Célie et moi on se disait " Partout où je vais le truc qui me fait le plus chier c'est les gens." et j'aimais ça ! J'aime pas les foules quand je suis dedans mais j'adore observer les habitants de notre planète bleue un par un. Observer sans l'être, c'est ce que j'aime parfois faire. Je voudrais parfois être invisible pour de vrai. Je sais bien m'effacer, mais l'être vraiment, j'aimerais beaucoup. Pour en revenir au bonheur, je dirais que ce devrait être le but de chacun dans la vie et que la définition est propre à chacun. Le problème c'est que chez certains a force de ne pas trouver ce qui les rend heureux ils trouvent plus facile de trouver ce qui les rend malheureux. C'est dommage mais c'est une façon de nourrir le mauvais côté. La côté mélancolique, nostalgique, dépressif, déprimé ou tout simplement pessimiste. Je m'avoue pessimiste et je voudrais parfois l'être un peu moins. Je me suis pourtant rendue compte d'une chose en l'étant ; c'est qu'a force de s'attendre à de la merde ou de penser que tout est nul au bout d'un moment on positive vachement sur les trucs qu'on trouve cool. On est moins déçu quand on ne s'attend à rien de bien. Et se réjouir de chaque petite chose qui peut égayer une minute d'une heure d'une journée c'est un petit morceau de bonheur. "Jouir et de réjouir le plus qu'on peut, souffrir le moins qu'on peut" Spinoza. Voilà quelque chose de bien. Alors porquoi tant de gens cherchent sans cesse (et moi aussi j'en fais partie même si j'essaye de precher la bonne parole sur le bonheur c'est peut-être que moi même je veux faire partie des gens qui font des bouquets avec les fleurs à leur portée) a être tristes et déprimer en pensant aux petits bobos ou aux grosses merdes qui nous tombent sur la gueule de temps en temps. Parfois c'est pour très peu mais ça arrive que ce sois pour des faits plus importants, des chagrins d'amour, des problèmes de fric (ce que l'Homme cherche sans cesse à obtenir) etc... Les ados sont les premiers sujets aux petites déprimes comme aux plus grosses. Mais d'une manière générale on peut constater que certaines personnes ne trouvant pas le moyen d'être heureux préfèrent -quitte à s'inventer des problèmes- se rendre malheureux. Le mauvais rend triste car le bon ne rend pas heureux ou est-ce le mauvais qui rend heureux car le bon ne rend pas triste ? La deuxième version marche dans le cas où la personne aime souffrir et se sentir malheureux surement parcqu'il pense que cela lui donne une importance, que ça le rend intéressant. Ca pourrait être le cas pour un jeune en quête de reconnaissance ou simplement de bonheur pouvant être apporté par l'amour. Ou pas. Je sais pas, je ne sais plus. La pensée est infinie, j'aime l'infini et je n'ai pas peur du vide. Je suis consciente que je peux mourir demain mais j'ai comme l'impression que ça n'arrivera pas ce demain là. Positiverais-je ? En tout cas je sais que lorsqu'on pense positif, on amène le positif et inversment car en pensant négatif on apporte le négatif (Attention elle parle en connaissance de cause !!). Alors voilà tout ça ou presque pour dire qu'on a tous tout ce qu'il nous faut devant nos yeux alors il suffit de les ouvrir. Sans m'étendre sur la pauvreté dans le monde (loin de là mon objectif) il faut savoir qu'il y a plus malheureux qu'un européen qui a pas assez de tunes pour s'acheter un Wii ou je ne sais quoi que certains habitants des continents dits "en développement" ne verront jamais. Ceci dit, tout est relatif, oO... Bah ouais c'est sûr. Tout est grave pour la personne qui pense que ce qui lui arrive l'est. Enfin voilà je vais pas prier Dieu pour être heureuse car cela ne tiens pas à lui mais à moi. MOI. Alors vous aussi, si vous pouvez, si vous voulez, soyez Heureux. Et pour tous ceux qui croient au paradis, vous y êtes. Ne le cherchez pas et ne pensez pas non plus que vous y retournerez quand vous mourrez, tout cela est faux. Et pour ceux qui sont tristes et qui n'osent pas croire au bonheur sur Terre je vous citerais juste une parole de Daniel Darc (d'où il sort lui ? ouais je sais pas, de ma radio) vous prenez ou vous prenez pas, mais moi j'aime bien même si je préfère croire à la première théorie (citée ci-dessus sur le paradis) :

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"Quand je mourrai j'irai au paradis, c'est en enfer que j'ai passé ma vie."

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